lundi 23 juillet 2012

Vous qui en voulez toujours plus...

Si vous n'êtes pas satisfait pas mes écrits, ou que vous êtes de nature curieuse, vous pouvez visitez le blog de Pichot-san (Toulouse の ENSIEEHT, pas besoin de traduction je pense)


Le lien est ici (ou ).


Si vous voulez en savoir plus sur Baptiste, voici un court extrait de film, montrant ce dont il est capable au sanctuaire Yasukuni (靖国神社) :


Figure 10.1 - Le Pichot-san en pleine action
Le Pichot-san ( ぴちょさん) est un humanoïde assez rare, et recherché, notamment pour son incontestable ressemblance avec le chaînon manquant. Heureusement pour lui, sa grande taille lui permet de s'affirmer comme distinct des chimpanzés (ou autre bonobos), et sa finesse l'éloigne des grands singes. Si sa réactivité est proche de celle d'un bigorneau au soleil, il possède une grande capacité à se perdre tout seul, et sans raison, en quelques fractions de seconde.
Toutes ces raisons font de lui un membre a part entière de toute l'histoire de l'humanité.
C'est pourquoi il est très agréable de se promener avec lui (quand il n'est pas perdu) dans les rues de Tokyo, pour écouter ses pensées et autres apophtegmes.

Si vous avez la flemme de remonter en haut, et que je vous ai convaincu d'aller faire un tour sur son blog, cliquer sur le lien qui mène à son blog.

Une soirée à la japonaise !

Bonjour à tous !


Déjà, je tiens à vous dire, pour tout ceux qui s'inquiètent (et ils ne sont pas nombreux), que je suis bien arrivé à Sendai, et que tout va bien, et que les gens pour qui on bosse sont cool, et que l'appart est stylé, et que cétéra...


Après, je vais vous parler un peu de la dernière soirée à Tokyo, une vraie soirée à la japonaise !


D'ailleurs, on était avec des japonaises =)


Pour la petite histoire, tous les vendredis, Minami, une jeune fille de 19 ans (NB : donc mineur, car moins de 20 ans. Pas majeur, pas d'alcool. Pas d'alcool, pas de bar. Pas de bar,... pas de bar), venait avec nous en cours de japonais.


Bien sûr, elle était japonaise, donc c'était surtout pour passer le temps qu'elle venait.


Du coup, Romain, ni une ni deux, il entame la discussion, et tente tous ses tours de passe-passe pour la faire rire (et comme le dit l'adage nippon, "femme qui rie, femme qui mange du riz").
Au bout du troisième (et dernier) vendredi, on a réussi à lui proposer d'une manière plutôt polie (surtout grâce à Basile et moi, quand même, il faut le dire), de se retrouver dans l'après-midi à Shibuya.


Direction => 猫カフェ !

Pour ceux qui ont pas compris, il y a marqué "Nekokafe", c'est-à-dire bar à chat !


On se retrouve donc avec les 4 compères (Romain, Tofu-san, Basile et moi-même), ainsi que Minami, sa sœur et un ami à elle, Mamoru, en direction pour un bar à chat.


Après un petit temps de recherche, on entre, on enlève nos chaussures, on raque un petit coup, et c'est parti pour un moment trooooop mignoooon avec pleeeeeins de chaaaat paaaaartouuuuuut ! (Mieeeeeeeeew)
...


Mais, les chats, soient ils étaient un peu shootés, soit c'était carrément l'heure de la sieste !


Figure 9.1 - Un panier de chat
Figure 9.2 - Le Japon c'est très très fatiguant
Figure 9.3 - Le plus vif avait les yeux ouverts
Figure 9.4 - Ce chat est-il vivant ?


Mais, maintenant, que faire ?
Et pourquoi pas un プリクラ (purikura) ?
Ce sont des photo-maton pour beaucoup de personnes, avec des retouches automatiques (agrandissement des yeux, fond de teint au maximum, suppression des rides telle que même Isabelle Adjani paraîtrait plus jeune)...


Quelques (incroyables) exemples :
Figure 9.5 - Mais que vois-je ?

Figure 9.6 - Les yeux fermés ne sont pas agrandis

Figure 9.7 - Steakyyyy ! (すてき = suteki = cool)
Juste à côté (après un cours Mario Kart à 4 en borne d'arcade), petit passage par Dance Evolution, où on a vu que les chorégraphies japonaises (qui par définition sont connus de toutes les japonaises, mais aussi de certains japonais) ne sont pas évidentes.

Figure 9.8 - Ils semblent presque être ensemble !


Puis, une fois la petite pause finie, direction le カラオケ !

Oui oui, vous avez bien compris, il s'agit bien d'un karaoké !
Malheureusmenent, étant donné l'emplacement (Shubuya, glurp), il est un peu cher, donc en restant une grosse heure, on reste un peu sur notre faim...

Au Japon, les karaoké se trouvent un peu partout, mais la grosse différence, c'est que cela se passe dans des salles privatives !

Vous avez une TV, un bouquin avec une liste de chanson, une tablette pour choisir, et c'est bien rigolo !

Par contre, les chansons françaises, il faut pas trop compter dessus... Alors, il faut resortir les classiques anglais !
Pour les plus vieux, les Beatles, Queen, Scorpions, Mickeal Jackson... Pour les moins vieux, Coldplay, David Powell, Muse.
Pour les slaves, "Dragostea din tei" (no ma no ma no miei).
Et pour les autres, Aqua (I'm a baby girl)...


Figure 9.9 - Karaoké made in Shibuya ! (= ¥¥¥)

Figure 9.10 - Combien de doigts ?

vendredi 20 juillet 2012

Bolinette de riz, Ikebana !

Bonjour à tous !


Aujourd'hui, nous allons parler rapidement de la première activité que l'IWC (l'organisme qui nous donne des cours) nous a proposé (le 4 juillet, en fait), c'est à dire : 


L'ikebana, ou plutôt 生け花.
C'est l'art de la composition florale (merci de ne pas rigoler).


Bon, en fait on nous a juste demander de faire un bouquet avec toutes les fleurs qu'il y avait devant nous, et suivant si on est verni ou non, le bouquet est (un peu) beau.


Mais c'est pas moi qui allait juger...


Mais juste avant, nous avions la possibilité de visiter un école primaire.


Et, la サクランボ (sakurambo) sur le  ケーキ (keeki), il y avait la TV locale.
Le but était de passer un bon moment avec les enfants, pour qu'ils commencent dès maintenant à idolâtrer les français.
Le principe du jeu était simple, le 先生 (sensei = prof) montrait un image (un fauteuil, un tournevis, une fenêtre, un papillon...) et nous devions dire le nom du dit-objet en français aux enfants, qui devait à leur tour le répéter au prof. Si c'est bon, 1 point, si c'est pas bon, on demande à une autre équipe. Le choix de l'équipe qui répond est en fait celle dont la voix est la plus insupportable, de sorte que le 先生 ne veuille plus entendre l'équipe pour quelques minutes.


Petit rappel : les japonais ne sont pas capables de prononcer : 

  • les "r" ;
  • les "tu" ;
  • les "ou" et les "u" et les "e" ressemblent à la même voyelle;
  • les "f" (sauf fu) ;
  • les "si" ;
  • les "v" ;
  • ni aucun doublet de consonnes s'il n'y a pas un voyelle entre les 2.

Exemple : chanvre et chambre se prononce de la même manière, Shi-ane-buru (i presque inexistant)


Bref, la galère pour faire deviner professeur !


(Il y en a des pires, mais là, comme ça, je m'en rapelle pas...)


Figure 8.1 - Appareil-photo : persistance auditive non suffisante


Mais on a gagné =)


Après une brève visite de l'école (qui reste une grosse école, en fait).


Figure 8.2 - Plus de percus qu'à l'école de musique d'Unieux...
Et puis c'est parti pour l'ikebana !


Figure 8.3 - Tofu-san en pleine conception

Figure 8.4 - Ooh, c'est de toute beauté


Si vous voulez voir des images magiques de la télévision (qui bougent), ou bien si vous voulez tester votre potentiel pour comprendre les langues étrangères du premier coup (ou même si vous êtes japonais, et si vous ne maîtrisez pas parfaitement la langue de Molière), petite vidéo qui est passé aux infos locales de l'école :






Pour la source (je ne sais pas combien de temps le lien est valide),


cliquez ici,


puis cliquez sur le dernier chapitre, correspondant aux 2 dernières minutes.


A biento puru de nubel'abenturu !

samedi 14 juillet 2012

Shiodome - jardin de Hamarikyū

Ce mardi 10 juillet, nous étions en route pour se balader vers Roppongi, le quartier plutôt chic, mais finalement, on s'est un peu perdu et on s'est retrouvé à côté de Shimbashi, dans le quartier de Shiodome, juste à côté.
Ces deux quartiers ont été les premières zones d'expansion de la nouvelle ville, avec de grands buildings un peu partout. Maintenant, c'est le siège de très grandes compagnies nippones.


Figure 7.1 - Une ligne de Shinkansen à Roppongi


Mais, ce qui nous intéressait, c'était un petit jardin, qui, parait-il, était plutôt bien sympathique d'après le guide.


Figure 7.2 - Gros plan de la carte

Figure 7.3 - Petit plan de la carte (on voit ici Tokyo)


Nous voici alors en route pour le 浜離宮恩賜庭園Hama-rikyū Onshi Teien« jardin du palais isolé de la plage, don impérial » (merci Wikipédia)


Et là, quelle surprise ! Un jardin magnifique, avec personne dedans, un grand soleil, très calme.
Vraiment surprenant, un lieu si calme et ni naturel entouré de grand building !
Il y avait quelques (euphémisme) corbeaux, cela rajoutait un petit charme (un peu flippant, en fait).
Voici donc quelques photos :

Figure 7.4 - L'entrée du parc

Figure 7.5 - Zone de chasse au carnard

Figure 7.6 - Sympathique petit lac (salé, car relié à la mer), typiquement traditionnel

Figure 7.7 - La maison de thé au milieu du lac. 
Figure 7.8 - Juste un doigt

Figure 7.9 - Jardin sec


Figure 7.10 - Lac humide

Figure 7.11 - Arbre, lac, building...

Figure 7.12 - Juste après la sieste !

Figure 7.13 - Au loin, la ville

Figure 7.14 - Les pigeons, c'est bien aussi...

Figure 7.15 - L'embarcadère du Shōgun 
Pour les incultes (je sens venir la question) :
"Shōgun は 何ですか? Qu'est-ce-que c'est qu'un Shōgun ?"
Et bien les enfants, un Shōgun c'est un général de guerre. C'est un peu le patron, en fait. L'empereur était plutôt gérant des traditions, et le Shōgun, il fait la guerre (ça c'est sûr), et gère les grosses décisions politiques (je crois).


En fait, ce parc a été choisi il y a fort longtemps par les Shōgun pour être un de leurs lieux de repos. C'est par cet embarcadère, relié à la mer, qu'il arrivait.
"Et, dis, pourquoi on dit un Shōgun ?"
Et bien, c'est très simple ! Quand le premier Shōgun a vu ce parc, il a crié :
"SHOTGUN LE PARC !"
Et, comme le parc avait déjà un nom, ce surnom lui est resté. En simplifiant la prononciation pour le japonais moyen, le terme s'est transformé en Shōgun.


Simple, ね ?
"Merci, vénérable oncle Sylvain !"

Les toilettes (cet article peut choquer les âmes sensibles)

Au japon, si tu veux aller au toilettes, il faut être sûr de vouloir y aller.
Il faut être sûr de son orientation s******* (comprend qui peut).


Car ces toilettes ont le moyen de pénétrer dans le plus profond de votre âme...


Je vous présente...


Les toilettes-avec-un-petit-jet-d'eau-qui-te-lave-les-fesses !


(on notera la couleur, de très mauvais goût)


Si certain se sentent différents après avoir vécu cela, il ne faut quand même pas pousser.


Le plus compliqué, c'est de comprendre comment ça marche !


Etape par étape :
Figure 6.1 - La porte de l'enfer

Figure 6.2 - Les WC diaboliques

Figure 6.3 - La télécommande satanique

Figure 6.4 - L'ouverture automatique
Bon, j'avoue que quand on est assis, on ne ressent pas une grosse différence.

Mais après, il y a la seconde d'hésitation.
Papier, ou jet d'eau ?

J'ai agit tel un professionnel du test bizarre, et, prenant mon (courageux) derrière à deux mains, j'ai appuyé sur tous les boutons.

Petit résumé, après les différents tests :
Figure 6.5 - C'est ici que j'explique
Bilan : à moins d'attendre 10 minutes sous le sèche-fesses, on est mouillé, et pas sûr du résultat.

Mais c'est marrant quand même ! Mais quand on est pressé, on préfèrera le bon vieux PQ (c'est une expression, il n'est ni bon, ni vieux).

Bien sûr, le tir-ta-chasse est automatique ! = )

Marché au poisson, puis Sushi Party !

Bonjour à tous !
Dans la continuation de la nourriture au Japon, je vais vous parler d'une petite sauterie que ma famille d'accueil a organisé avec les membres de leur vraie famille, dimanche dernier (08/07). On notera que la famille de Tofu-san (Christophe) était conviée, mais j'ai pas trop compris pourquoi (je crois que son père d'accueil est le frère du mari de la nièce de mon grand-père d'accueil, ou quelque chose comme ça).


Et cette petite sauterie, c'était une sushi party ! Le principe est simple, il y a du riz collant, du poisson cru, des algues, et de l'accompagnement un peu partout sur la table, et tu manges tout d'un coup !


Préambule :
Mais pour manger du poisson cru, il est fortement conseillé d'avoir du poisson frais (à vos risques et périls). Le matin même, nous sommes donc aller à 築地市場 (Tsukiji shijō), le marché au poisson de Tsukuji. C'est le plus grand marché de poisson du monde (rien que ça) !


Figure 5.1 - Le remballage




Mais, il y a plusieurs "mais" :


Déjà, nous sommes arrivés trop tard (11h), donc il restait du poisson mais pas de quoi prendre de belles photographies. En plus, ça fait un peu trop touriste, de prendre des photos dans un marché. (Bon, ok, j'en suis un peu un, mais quand même, pas trop)
Et puis surtout, j'étais à la fois censé courir après mes accompagnatrices (Oba-san et Sa-Chan, cf infra), qui voulaient trouver du poisson, et prendre des photos. Difficile de bien faire les deux, donc je me suis en grande partie contenté de suivre.
Je vais quand même vous expliquer grosso-modo comment ça se passe :


Juste après 5h30, les ventes aux enchères commencent. Depuis quelques années, le public n'a plus l'accès libre à la zone : il faut réserver, et arriver avant l'heure car seuls les premiers peuvent entrer. Ceci est dû au fait que certaines personnes prenaient des photos au flash, et touchaient les poissons crus, malgré le fait que cela ne soit pas très futé. Donc, on a pas pu le voir, aucune des 2 fois où nous sommes allés au marché (Cette fois, trop tard, et la fois d'après, trop tôt (et trop saoul)).


(NB : parfois, le poisson, c'est cher... Un thon rouge de 340kg, espèce rare, donc chère, et très prisée au Japon, a été vendu 32 M¥, soit environ 320 000 € au début de l'année dernière...)


Jusqu'à 9h00, seuls les professionnels peuvent acheter des poissons (entiers, et semi-vivants, bien sûr).
Puis, à 9h00, la zone de vente intermédiaire ouvre au public (uniquement depuis le gros tremblement de terre, avant cela ouvrait plus tôt). Ceci est dû au fait que la zone n'est pas sécurisée pour beaucoup de monde (le marché est d'ailleurs en projet de déménagement).


Ensuite, à 11h00, c'est le moment où on arrive trop tard. Le gros du poisson est parti, il ne reste que les parties moins bonnes :


Figure 5.2 - Tout n'est pas bon dans le poisson
Heureusement, il y a aussi les restaurants de poissons, qui eux, font salle comble depuis 6h du matin (pour les businessman, mais aussi pour les afters !), après les premiers poissons péchés.


Figure 5.3 - Un vendeur de sashimi

Figure 5.4 - Très fat huîtres (entre 15 et 20 cm de long)
On peut aussi bien sur acheter tout ce qu'il faut pour faire les sushi !


Figure 5.5 - Vendeur de 海苔 (nori), algues à sushi 
Heureusement, après l'effort, le réconfort !
Figure 5.6 - Homo Affamus Distingus mangeant du poisson grillé qui frétillait dans la mer 12h plus tôt




Et que faire avec tout ca ?


Des sushi !


Tout d'abord, présentation des hôtes, ma famille d'accueil, les 山本 (Yamamoto), Oji-san et Oba-san (littétalement grand-père et grand-mère, mais ils veulent que je les appelle comme ça). Merci à eux deux ! Ils m'accueillent à bras ouverts, et ils sont vraiment géniaux !
Par contre, à ce moment, Oji-san commençait à être un peu saoul.
Figure 5.7 - La ホストファミリー(hosuto-famili, cf host-family, donc famille d'accueil)

Nous étions une grosse dizaine, le nombre variant au cours de l'après-midi. En gros, mes deux grands-parents d'accueil, Sa-Chan (Satoko, une amie à eux), A-Chan (leur nièce) avec son mari et le frère de son mari, leurs enfants, une grand mère de je-sais-pas-trop-où qui vit avec eux, leurs enfants, Tofu-san,  plus une femme bizarre très coincée (surnommée bol-de-riz, parce qu'elle parlait un tout petit peu français, et que comme ça on pouvait parler d'elle discrètement), et 2 jeunes (et jolies) diplômées dentistes, mais je sais pas trop pourquoi elles étaient là.

Bon, ok, c'est pas très précis, mais j'ai des excuses ! Les explications étaient en Japonais, et Oji-san, qui traduisait un peu en anglais, était saoul, donc il nous embrouillait encore plus.
On a quand même bien rigolé !

Figure 5.8 - Presque tout le monde
Tout était sur la table, il fallait juste se servir. La bière (Japonais, plus une Pietra que j'avait amenée) coulait à flot, et il y avait 2 bouteilles de vin (dont une que j'avait amenée aussi), mais nous n'étions que très peu à boire de l'alcool. Heureusement, Oji-san et la grand mère d'accueil de Tofu-san, qui se servaient l'un l'autre, buvaient pour les autres !

Mode d'emploi de la fabrication d'un sushi :
  1. On prend une feuille d'algue
  2. On met du riz (pas trop, sinon c'est pas pratique)
  3. On met un bout de ce que l'on veut (saumon, thon, poulpe, crevette, autres poissons non identifiés)
  4. On ajoute un bout de légume, généralement concombre ou avocat
  5. (optionnel si courageux) On met un peu de wazabi (qui, il faut le dire, arrachait la gueule)
  6. On roule
  7. Si ça déborde, on gobe, sinon, on peut croquer proprement
Figure 5.9 - Table à manger (extrait)

Figure 5.10 - Un gros sushi pas encore roulé

Figure 5.11 - Le même sushi mal roulé (problème dans l'étape 2)

Figure 5.12 - A-Chan, et Sa-Chan (Chan = jeune fille, même si moi je dois pas utiliser ce mot pour elles puisqu'elles sont plus vieilles que moi) qui en fait ne boivent pas d'alcool - On notera l'adhérence du riz sur la feuille d'algue séchée

Figure 5.13 - La mère d'accueil de Tofu-san, l'oncle d'accueil de Tofu-san, Tofu-san, et drunk-Oji-san
Mmmm, les sashimi c'est délicieux ! (おいしいです !)


Il faut savoir qu'on a mangé toute l'après-midi, et qu'Oji-san parlait tout le temps en moitié anglais, moitié japonais. Mais toutes les 15 minutes, il se répétait.
Avantage : c'est rigolo, et une fois qu'on trouvé la phrase en japonais, on peut répondre plus vite.
Désavantage : il a fallut de nouveau répondre aux mêmes questions le lendemain, parce qu'il ne se rappelait plus des réponses...


Ca lui a vallut une bonne sieste devant la télé le soir !


En tout cas, un bonne petite après-midi pour tout le monde !